> Il possède une culture élargie du domaine sanitaire.
> Il organise et anime des groupes de parole.
> Il mène des entretiens individuels.
> Il accompagne et soutient la personne en souffrance.
Je travaille principalement sur un mode de thérapie brèves entre 4 et 12 séances maximum, avec des objectifs clairs et définis au début du suivi par la personne venue consulter.
Entre les séances, comme dans toutes les thérapies comportementales, peuvent être proposés au patient des exercices de réflexion (sur soi qui seraient trop longues à travailler en séance), des exercices de comportement, de symbolisation (sur les problématiques évoquées bien évidemment), ceci pour tenter une modification du comportement qui perturbe voire qui met en danger la personne. Il est donc essentiel d'avoir des travaux de préparation en amont.
Certaines problématiques peuvent être mises en situation sous forme de jeu de rôle, permettant ainsi une avancée plus efficace de la démarche thérapeutique.
Je peux être consultée pour des problématiques très variées, entre autres, les addictions, les burn-out, la dépression, les soucis liés à l' adolescence, les troubles du comportement alimentaire, les problèmes de sexualité, l'estime de soi...
Hypnose, en voilà un grand mot !
Technique qui souvent intrigue et qui interroge de plus en plus.
L'hypnose est comme un séance de cinéma utilisée dans un cadre thérapeutique (méthode développée par Milton Erickson), le thérapeute devient le scénariste et le patient réalisateur qui assiste à la première
- Mais alors concrêtement comment ça se passe une séance d'hypnose ?
Rassurons-nous tout de suite. Dans le cadre d'une séance de travail thérapeutique, être dans un état d'hypnose, c'est être installé(e) confortablement et écouter et visualiser l'histoire que le thérapeute nous raconte en fonction de ce que nous souhaitons travailler (ce qui nous pose en général problème).
- Mais alors, suis-je conscient(e) de tout ce qui se passe durant la séance ?
Eh oui ! Nous restons conscient en restant dans notre bulle.
Les grands mots de l'hypnose sont détente et créativité.
(Cette méthode peut être combinée à d'autres méthodes telles que le rêve éveillé ou l'EFT.)
Texte écrit en collaboration avec Joanie Cottet.
Le principe de base est fondé sur la découverte de Gary CRAIG que « la cause de toute émotion est une perturbation du système énergétique corporel ».
À un niveau de base, cette technique est simple, efficace et facile à utiliser.
Elle donne la possibilité de gérer les émotions négatives du quotidien.
Elle peut se pratiquer seul pour traiter un problème simple
ou accompagné d'un thérapeute pour une problématique plus complexe
telle qu'un trauma. Elle a pour but d’alléger les souffrances émotionnelles
et psychologiques des personnes. Elle se pratique par la stimulation
par tapotement de points situés sur le trajet des méridiens répertoriés
par la médecine chinoise sur le visage, le haut du corps et les mains
en même temps que l’on fixe son attention sur la souffrance physique
ou l’émotion négative que l’on souhaite supprimer.
Nous pouvons traiter grâce à l'EFT : (liste non exhaustive)
• Les traumatismes : accidents, viols, syndrome de stress post-traumatique, etc.
• Les sentiments et émotions telles que stress, colère, etc...
• Les phobies
• Les croyances limitantes : pensées qui nous empêchent d'avancer dans la vie comme l'on souhaiterait
• Les dépendances ou addictions : alcool, drogues, tabac, nourriture, jeux, sexe, etc.
• Les maux physiques : problèmes de sommeil, maux de tête, de dos, de ventre, allergies, etc.
• Les problèmes scolaires
J'étais formée à cette méthode énergétique par Marie-Estelle PELVIN, thérapeute spécialisée en EFT et importatrice de la méthode énergétique en Bretagne.
Addictologie (définition)
Selon la Fédération Française d' Addictologie (FFA), l'addictologie est
un champ d'investigation théorique et pratique centrée sur les comportements auto-aliénants des êtres humains en particulier les pratiques de consommation de substances psycho actives pouvant engendrer des dommages et des dépendances. Cette jeune discipline (apparue à la fin du XXème siècle) s'intéresse à l'homme et à ses conduites mais aussi aux substances et aux contextes qui interagissent dans ces conduites. Elle peut être multidisciplinaire (sociologie, médecine, psychologie,....) et multifactorielle.
Elle répond au modèle bio-psycho-social. Selon Anne Coppel (2004), l'addictologie travaille sur une coexistence et une co-influence
entre les théories explicatives de la dépendance.
Elle agit sur trois plans :
1. la prévention
2. la clinique et la thérapeutique
3. la définition d'une politique et d'une législation cohérente
vis-à-vis des drogues
Nous allons nous intéresser au deuxième plan.
Dans ce cadre, l'addictologie permet :
• de redéfinir les rôles des patients et intervenants,
• de considérer le patient comme premier expert de lui-même (selon Kligeman)
• de comprendre que l 'addiction est l'aboutissement d'un processus de mise en échec de la recherche de mieux-être
• de rendre l'individu davantage maître de ses facteurs et de ses mécanismes.
L'addiction ou la dépendance
Ce terme désigne les différents états que connaissent les êtres humains lorsqu'une source de plaisir et de mieux-être devient l'objet d'un besoin dépassant la capacité de l'individu à y renoncer. Ce besoin est asservissant
et envahissant : asservissant car le sujet perd toute liberté et envahissant
car son rapport au monde est infiltré en permanence de la modification
de l'état de conscience induite par l'excitation que provoque le déclenchement du plaisir ou plutôt par l'idée de plaisir.
L' addiction est une maladie, une expression d'une difficulté sociale
et d'un questionnement singulier. Elle décline le rapport au plaisir et
à la souffrance, l'appétence pour les sensations et la gestion de l'angoisse. Elle doit être soignée et comprise en rapport avec l'histoire de vie
de la personne dans ses dimensions sociale, familiale et psychique.
L’addiction peut être définie comme un comportement excessif dont
les origines peuvent être culturelles (civilisation, conditionnement, éducation,...), cultuelles (croyance, religion,...) ou comportementales
(couple, société,...).
Il y a différentes caractéristiques de l' addiction :
l'usage nocif, l'usage à risque, l'abus, et la dépendance qui est
un comportement psychopathologique associé à un désir compulsif de produit, à un sevrage et à une accoutumance. Sous une forme simplifiée, addiction = abus + dépendance
Il y a différentes classes d’addiction : (soit 15 grandes familles)
• alcool
• drogues
• tabac
• médicaments
• cyberdépendance
• activité intensive (sport,...)
• workaholisme
• dépendance sexuelle
• jeu pathologique
• jeux vidéo
• fausses croyances (sectes,...)
• fausses valeurs (prestige, argent,...)
• anorexie / boulimie
• dépendance affective (violence, harcèlement, souvenir,
séparation, relation parent-enfant,...)
• divers croyances – perception – comportements qui sont totalement liés
Les objectifs d'accompagnement peuvent se décliner sous des formes diverses. Ils visent à donner conscience en soi, à réapprendre à vivre en réduisant ou en arrêtant son addiction, à un refus de suppression de toute liberté et à acquérir les éléments de base de son libre-arbitre.
La technique du rêve éveillé est une méthode mêlant visualisation
et symbolisation. Elle permet à la personne de libérer des émotions,
ses traumas, rétablir l'estime de soi, vaincre ses phobies ou de travailler
sur tout ce qui ne lui va plus. Il est possible de pratiquer cette méthode
de manière dirigée avec un thérapeute (voir les travaux de Robert Desoille). Cette méthode peut également se pratiquer seul.
(voir l'ouvrage de Georges Romey « Rêver pour rennaître »).
« Imaginez vous dans un endroit rassurant. Il peut être réel ou imaginaire. C'est comme vous voulez. Dans ce lieu, se trouve un miroir dans lequel vous vous voyez des pieds à la tête. Ce miroir sert de passage entre cet endroit et celui où nous allons travailler ce qui ne nous convient pas. »
Le rêve éveillé, c'est un principe de visualisation. Dans les faits, cet exercice s'effectue les yeux fermés (c'est la seule règle à respecter) en se concentrant uniquement sur la voix du thérapeute qui vous sert de guide pendant la durée du rêve.
A la différence d'une séance d'hypnose, le patient va avoir conscience de ce qui se passe et garde la possibilité d'interagir avec le thérapeute pendant le travail. De plus, il est possible de faire demi tour à tout moment pour retourner dans son endroit rassurant et arrêter l'exercice.
Cet exercice peut être effectué chez des personnes de tout âge et reste réutilisable chez soi. Il se base sur la symbolisation de différents éléments et permet donc de travailler de nombreuses thématiques : diminution des angoisses, accompagner et aider à faire un deuil, réduire un trauma et diminuer son impact émotionnel, phobies, confiance en soi...
Un exercice accessible à tous permettant de travailler facilement et efficacement pour avancer vers son bien être !
Texte écrit en collaboration avec Joanie Cottet.
Je m'intéresse à la thérapie par le théâtre.
En effet, le jeu de l'acteur doit se vivre sur scène intellectuellement,
physiquement, affectivement et socialement. Il apporte donc tous les aspects
et toutes les compétences humaines. Ilrespecte la globalité de l'être humain
ce qui amène tout l'intérêt d'un travail thérapeutique.
A travers le théâtre qui peut être considéré comme le miroir de l'être humain,
le patient peut se projeter en train de vivre, ressentir, clarifier et se réapproprier
ses problèmes personnels. Pour cela, on utilise tout le processus du travail de l'acteur
pour exprimer et explorer les émotions tels que l'intellect, le souffle, l'émotivité, la voix,
le corps, le rythme, l'esprit, le cœur, l'être et le paraître.
Par exemple, le travail sur le corps permet d'accepter son physique
et d'être capable de le montrer, de faire un travail de gestion face à sa nervosité
ou à des situations difficiles et de prendre conscience du monde extérieur
ainsi que de ses proches pour accéder à une meilleure écoute et donc,
de renouer avec la communication.
Il y a plusieurs formes de thérapies par le théâtre :
• La théâtrothérapie met en œuvre tous les éléments du spectacle théâtral
comme cadre thérapeutique c'est-à-dire le texte, la mise en scène,
les décors et accessoires et ultimement, une présentation d'un produit fini.
C'est un paramètre d'intervention à long terme où le groupe prime sur l'individu.
D'après la définition de De Baets et Minet, la théâtrothérapie est « une méthode
qui s'appuie sur le théâtre spontané, l'apprentissage de techniques théâtrales,
des conventions scénographiques et la mise en parole analytique
de l'expérience vécue » […] pour les « personnes désireuses d'entreprendre
un travail de recherche et de développement personnel pour elles-mêmes ».
• Le jeu de rôle est un instrument d'apprentissage et de perfectionnement
aux relations humaines, une initiation à la résolution de conflits fictifs.
Il permet de jouer divers rôles généralement traditionnels, familiaux
ou professionnels. Il repose sur la composante improvisation.
• La scénothérapie donne une grande importance du texte.
Ce type de thérapie :
1) favorise l'expression appropriée des sentiments car le texte permet à la personne
de projeter ses affects en les attribuant au personnage imaginaire qu'elle incarne,
de les explorer avec une certaine distanciation, de les vivre dans l'interprétation.
2) favorise l'amélioration des fonctions du Moi qui sont les constantes références
à la réalité. Le patient intériorise des choses apprises dans le texte.
3) favorise l'établissement ou le rétablissement du concept de Soi
et le sentiment de contrôle.
4) fournit un cadre pour l'apprentissage de nouvelles compétences
et l'amélioration d'habiletés déjà existantes au besoin du patient
ce qui amène à travailler sur certains aspects et compétences humaines.
5) fournit l'occasion d'essayer de nouveaux rôles ou d'augmenter
sa confiance face aux rôles déjà tenus.
6) fournit un cadre dans lequel la personne pourra mieux se connaître
et mieux comprendre ses relations avec autrui.
7) favorise l'acceptation de soi.
8) facilite la mobilité et la flexibilité du patient dans l'approche des activités
de la vie quotidienne.
Tout ceci vise un changement dans le Bien-être et le Mieux-être en prenant en compte les concepts fondateurs du théâtre que sont la concentration, l'attention, le respect, l'écoute…
Mais aussi les concepts abstraits, subjectifs, propres à chacun tout en ayant/gardant un grand PLAISIR à jouer et à créer.
« - Maman, c'est quoi ça un « psychologue » ?
- C'est une personne qui aide les enfants qui ont des petits problèmes. »
Répondre à cette question est l'un des buts de la première rencontre entre un enfant, l'un de ses parents (ou les deux) et le thérapeute. C'est une première rencontre qui permet également de créer un climat de confiance et de sécurité.
Une consultation pour enfant dure environ 30 minutes durant laquelle il est possible de voir l'enfant mais également le parent pour discuter de certains points importants.
Comment va-t-on procéder ?
Un enfant est beaucoup plus spontané qu'un adulte et souvent demandeur de jeux. Les méthodes utilisées pour un enfant ou un adulte seront similaires (EFT, Rêve Éveille...) mais l'approche différera. Avec l'enfant, nous pouvons utiliser une approche plus ludique et utiliser le jeu comme médiateur. Il sera possible de travailler en séance avec des dessins ou des histoires par exemple, pour les plus jeunes (3-7 ans), on pourra utiliser Georges.
Qui est Georges ? Il s'agit d'une peluche à laquelle l'enfant va s'identifier. Elle est présentée à celui-ci comme un enfant du même âge présentant les mêmes problématiques. L'enfant pourra plus facilement se livrer à M. Georges au cours des consultations.
Et le(s) parent(s), quelle est leur/sa place dans la consultation ?
Le lien entre le psychologue et le(s) parent(s) n'est pas à négliger. Pour un enfant, la demande de prise de rendez-vous vient avant tout de l'adulte. Ce lien doit être entretenu, il sera demandé au parents d'être présent en tant que tuteur mais également pour échanger et apporter de nouveaux éléments au suivi.
« L'enfance est une tige fragile qui a besoin d'appui. » La Rochefoucault
Texte écrit en collaboration avec Joanie Cottet
Il n'est pas facile de déballer sa vie de couple devant un étranger...
Et pourtant...
quand l'un crie et que l'autre fuit, quand l'un rentre de plus en plus tard et que l'autre pleure,
quand l'un parle et que l'autre ne l'entend pas,
quand l'un ferme et l'autre le harcèle, quand la souffrance a remplacé la joie...
N'est-il pas grand temps de prendre soin de nous ?
Consulter un thérapeute permet à chacun d'exprimer et de déposer les reproches, les rancœurs, les ressentiments et les sentiments dans un espace d'accueil, de sécurité et d'absence de jugement.
Le degré d'angoisse et d'agressivité diminue alors et cela permet de renouer le dialogue.
Et si l'amour et la volonté de et de nourrir le couple sont bien vivants,
il est alors possible de se retrouver et de reconstruire ensemble.
La thérapie n'évite pas toujours la séparation. Mais elle peut éviter le désir
de faire mal à l'autre, trop souvent à travers les enfants, ce qui est désastreux pour tous les membres de la famille.
Comme on est deux dans une rencontre, on est deux dans une rupture : chacun a sa part de responsabilité.
Il est essentiel, pour pouvoir s'allier à nouveau, de « bien se quitter ».
Et on ne se quitte bien qu'en remerciant l'autre de ce qu'il nous a donné
et qui nous a permis de grandir.
Texte écrit par Annie Laudrin (www.annielaudrin.com) et reproduit ici avec son autorisation.
L’éducation thérapeutique du patient (ETP)
est une pratique qui allie à la fois la médecine, la pédagogie de la santé et les sciences humaines et sociales.
Elle vise à aider les patients à acquérir ou maintenir des compétences et des connaissances nécessaires pour gérer au mieux leur vie avec leur maladie chronique. L’objectif est de les aider à devenir acteurs de leur santé en les impliquant activement dans la prise en charge de leur pathologie.
L’Organisation Mondiale de la Santé définit l'éducation thérapeutique du patient comme étant un « processus par étape, intégré aux soins et centré sur le patient. Il comprend des activités organisées de sensibilisation, information, apprentissage et d'accompagnement psychosocial concernant la maladie, le traitement prescrit, les soins, l'hospitalisation et les autres institutions de soins concernées et les comportements de santé et de maladie du patient.
Il vise à aider le patient et ses proches :
– à comprendre la maladie et le traitement,
– à coopérer avec les soignants,
– à vivre le plus sainement possible,
– et à maintenir ou améliorer la qualité de vie.
L'éducation devrait rendre le patient capable d'acquérir et maintenir les ressources nécessaires pour gérer de façon optimale sa vie avec la maladie. »
La méditation de pleine conscience (mindfulness) désigne « un état de conscience qui résulte du fait de porter son attention, intentionnellement, au moment présent, sans jugement de valeur, sur l’expérience qui se déploie moment après moment » (Jon Kabat-Zinn).
L'objectif de la pleine conscience est d'apprendre à ralentir. Elle vise à concentrer pleinement son attention sur le moment présent et à analyser les sensations ressenties en se servant notamment de l'observation et de la respiration. Elle aide à prendre du recul sur les événements et à savourer l'instant présent.
La pleine conscience peut être pratiquée pour :
– gérer le stress, l'anxiété,
– réguler les émotions,
– lutter contre les désordres alimentaires,
– améliorer la qualité du sommeil,
– apaiser les douleurs chroniques,
– accroître les capacités d'attention,
– traiter les épisodes dépressifs et prévenir des rechutes.
Pour bénéficier d’une chirurgie bariatrique (chirurgie de l’obésité : sleeve, by-pass…), une évaluation psychologique est préalablement nécessaire. Conformément aux préconisations de l’HAS (Haute Autorité de Santé) :
« L’évaluation psychologique et/ou psychiatrique préopératoire doit concerner tous les patients candidats à la chirurgie de l’obésité.
Elle doit permettre :
- d’identifier les contre-indications psychiatriques à la chirurgie (psychopathologies sévères, comportements d’addiction…)
- d’évaluer la motivation du patient, sa capacité à mettre en œuvre les changements comportementaux nécessaires et à participer à un programme de suivi postopératoire à long terme
- d’évaluer les déterminants et conséquences psychologiques de l’obésité
- d’évaluer les ressources intellectuelles et les connaissances qui doivent être suffisantes pour fournir un consentement éclairé
- de déterminer les facteurs de stress psychosociaux, la présence et la qualité du soutien sociofamilial ;
- de proposer des prises en charge notamment psychothérapeutiques adaptées avant chirurgie et d’orienter le suivi en postopératoire. »
Dans cette démarche le psychologue a, auprès des patients concernés, un rôle d’écoute et de repérage des dysfonctionnements psychiques pouvant fragiliser la santé mentale du patient après l’opération. Avec le patient, nous aidons à comprendre son rapport à la nourriture et sa fonction (autre que sa fonction purement alimentaire), comprendre également à ce qui nous a mené à la prise de poids. La mise en place de nouveaux comportements et de nouveaux fonctionnements amènent à la réussite de la chirurgie.
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